Vos enfants ont peur du noir ? Dismonster joue avec les ombres et déconstruit pas à pas les monstres de nos chambres.
Jouer avec la peur du noir
C’est la nuit et un petit garçon se promène dans sa maison bien sombre, une lampe de poche à la main. Tout à coup, une ombre étrange apparaît dans le faisceau de la lampe. Qu’est-ce que c’est? Un monstre?
A vous de jouer! Lampe de poche en main, vous allez décomposer ce monstre. Une assiette de l’évier, une fourchette sur la table, un donut dans le placard, une tétine dans un tiroir et voilà tous les éléments qui composent notre soi-disant monstres.
Moins de peur du noir et plus de motricité !
Pour décomposer les monstres, il vous faut explorer la pièce dans laquelle vous vous trouvez. Ouvrir tiroirs et placards, soulever des coussins, déplacer les objets. Lorsqu’un élément semble coïncider avec l’ombre, il faut le faire glisser sur l’ombre pour l’éliminer. Mais parfois, le faire glisser ne suffit pas, il vous faudra également le faire tourner pour l’ajuster a sa position dans l’ombre. De quoi faire largement travailler la motricité des enfants.
Un contenu riche et varié
Le jeu comprend 3 pièces : la cuisine, la chambre et le salon. Chacune des pièces comprend ses propres éléments. L’environnement est donc largement varié. Une vingtaine de niveaux sont disponible pour chaque pièce avec une difficulté croissante. De quoi jouer pendant un moment !
Pour les perfectionnistes, il s’agit de décomposer les monstres le plus rapidement possible pour gagner les 3 étoiles du niveau. Le temps s’affiche sous la forme d’une batterie en haut à droite de l’écran qui se vide peu à peu. Il est toutefois possible de la faire remonter en trouvant les éclairs cachés dans certains endroits de la pièce.
En bref, une excellente application. Une ambiance parfaite ( les enfants ont même un peu peur en commençant), un contenu varié, une ergonomie excellente pour la motricité. A télécharger les yeux fermés !
A noter : le menu de l’application est en anglais mais l’application elle-même ne nécessite pas de le parler pour jouer, il n’y a ni texte écrit, ni texte oral.
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